14 juin 2024

60 personnes réunies lors de la Grande Brasserie en Nouvelle-Aquitaine

Daniel Peyraube, membre du bureau d’Intercéréales et Jean-Marc Renaudeau président du Comité Régional des Céréales de Nouvelle-Aquitaine ont accueilli ce vendredi les invités de La Grande Brasserie pour échanger autour des enjeux de la filière : emplois et attractivité des métiers, compétitivité, décarbonation, logistique, export, économie régionale ou encore évolution des attentes des consommateurs, des clients et des citoyens.

A cette occasion, les participants ont pu visiter La Brasserie LALUNE avant de se rendre à l'École de management hôtelier Vatel Bordeaux pour déguster un menu composé de produits céréaliers. 

Ce repas a été imaginé comme une occasion de questionner les femmes et les hommes de la filière et d’échanger avec eux dans un cadre convivial.

La Grande Brasserie Nouvelle-Aquitaine
ⒸIntercéréales


Les céréales participent au dynamisme de la région Nouvelle-Aquitaine



La région Nouvelle-Aquitaine est la région la plus vaste de France, et aussi l’une des plus diversifiées en matière de productions. Aux côtés de l’élevage, de la vigne et des fruits et légumes, les céréales occupent une place prépondérante, près d’un tiers des surfaces cultivées, et emploie près de 59 700 personnes sur le territoire. 



Les cultures se répartissent principalement entre le blé tendre, le maïs, le blé dur et l’orge. La région Nouvelle Aquitaine est la première région productrice de maïs grain et de maïs semences en Europe.



Avec près de 720 km de littoral, plusieurs ports céréaliers (la Rochelle, Bordeaux, Bayonne notamment) et un important client de l’autre côté des Pyrénées la région est naturellement tournée vers l’export 

L’omniprésence des céréales et de leur transformation dans les paysages aquitains (producteurs, organismes stockeurs, moulins, semoulerie, conserveries, usine de popcorn, biscuiteries, usines de d’aliments pour animaux) confère à l’ensemble de la filière une responsabilité particulière, celle de consolider l’attractivité et le rayonnement des produits de la région. 



L’adaptation au changement climatique, la décarbonation, les pertes de surfaces, les déséquilibres des marchés mondiaux, la souveraineté alimentaire, l’évolution des attentes des citoyens ainsi que la compétitivité sont autant de défis que la filière céréalière tente de solutionner en s’appuyant sur le déploiement de stratégies ambitieuses, volontaristes et cohérentes.